FAIRE SAVOIR
Les prisons sont remplies d’individus n’ayant jamais eu la possibilité de s’intégrer socialement et économiquement dans la société. L’Ile de Ré est un territoire sur lequel vont et viennent ce que la société a produit de plus privilégié, des vacanciers et des retraités, dont la situation actuelle est liée à l’appartenance à un système choisissant d’en exclure d’autres, dans des prisons à l’abris des regards et des pensées. Il s’agirait d’utiliser le patrimoine de Saint-Martin-de-Ré pour rétablir un lien, par l’intermédiaire de l’apprentissage d’un savoir-faire local, entre les hommes libres et ceux qui cherchent à le redevenir en changeant le modèle carcéral de la maison central de Saint-Martin-de-Ré en un centre de réinsertion.
SAVOIR-FAIRE
Les espaces entre le centre de réinsertion et la ville seraient partagés temporellement, entre les résidents, les visiteurs et les artisans. Les uns pour y apprendre un métier ou simplement découvrir un rapport aux éléments, les autres pour y découvrir un artisanat local qui y gagnerait en visibilité. L’activité générée permettrait d’offrir aux Rétais un passage où se trouveraient des commerces plus solidaires et responsables, où seraient proposés des produits réparés, préparés ou cultivés par les résidents du centre de réinsertion.
FAIRE SAVOIR
Les prisons sont remplies d’individus n’ayant jamais eu la possibilité de s’intégrer socialement et économiquement dans la société. L’Ile de Ré est un territoire sur lequel vont et viennent ce que la société a produit de plus privilégié, des vacanciers et des retraités, dont la situation actuelle est liée à l’appartenance à un système choisissant d’en exclure d’autres, dans des prisons à l’abris des regards et des pensées. Il s’agirait d’utiliser le patrimoine de Saint-Martin-de-Ré pour rétablir un lien, par l’intermédiaire de l’apprentissage d’un savoir-faire local, entre les hommes libres et ceux qui cherchent à le redevenir en changeant le modèle carcéral de la maison central de Saint-Martin-de-Ré en un centre de réinsertion.
SAVOIR-FAIRE
Les espaces entre le centre de réinsertion et la ville seraient partagés temporellement, entre les résidents, les visiteurs et les artisans. Les uns pour y apprendre un métier ou simplement découvrir un rapport aux éléments, les autres pour y découvrir un artisanat local qui y gagnerait en visibilité. L’activité générée permettrait d’offrir aux Rétais un passage où se trouveraient des commerces plus solidaires et responsables, où seraient proposés des produits réparés, préparés ou cultivés par les résidents du centre de réinsertion.